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giovedì 31 gennaio 2013

Syria’s refugees - Drowning in the flood

Foreign governments and agencies are failing Syria’s refugees


Agencies and host countries are struggling to cope. Most of the refugees are women and children. In Lebanon there are no official camps, so they lodge with families. Conditions in camps in Jordan and Iraq are grim. Earlier this year rainstorms and even snowy blizzards turned some camps into quagmires. Children died of cold. Some tents went up in flames as refugees stoked fires inside them to be warm.

The governments of countries abutting Syria have long worried that the civil war there may spill over the border, stirring strife across the region. Whereas refugees were leaving Syria last year in a steady trickle, now they have become a flood. In the past few weeks as many as 5,000 people a day have been coming over. Entire villages are emptying out. The office of the UN’s High Commissioner for Refugees (UNHCR) previously said it reckoned 1m people would have fled Syria by June. But already more than 700,000 have done so—and that includes only those who have been registered. The UNHCR will have to reassess an already dire situation.

For Iraq, Jordan, Lebanon and Turkey, which host nearly all the refugees, the cost is growing. Schools and hospitals are crowded. Neighbouring governments are still more worried by the political instability that a refugee influx invariably brings.The plight of an estimated 2m Syrians displaced inside the country is even worse, since many are in areas deemed too dangerous for humanitarian agencies to venture.

The UN says it is helping over a fifth of the country’s 23m citizens, inside and out. “We are all asking where it will end,” says Panos Moumtzis, who heads UNHCR’s mission to Syria. “This is the most complex and dangerous situation I’ve seen.” The Lebanese are bitterly divided over Syria.

President Bashar Assad is backed by the Shia party-cum-militia, Hizbullah, but is hated by Lebanon’s Sunnis. Many Lebanese are afraid that the refugees may upset the country’s fragile sectarian balance. Jordanians worry that Syrian and other jihadists will use their country as a base, stirring up Jordan’s own Islamists. Turkey is wary of fleeing Syrian Kurds, since it has long battled against its own large Kurdish minority.

And Iraq’s Shia-dominated government fears that restless Iraqi Sunnis may be bolstered by their co-religionists fleeing from Syria, who make up the bulk of the fighting opposition to Mr Assad. Matters have been made worse by the aid agencies’ lumbering reaction. Refugees have rioted over conditions at Zaatari, a camp in the Jordanian desert not far from the border. Médecins Sans Frontières, a French charity which is one of the few to work in rebel-held areas, where it runs field clinics, has complained that too little aid is getting through. This is because the UN works through the Syrian government and its authorised agencies, which tend to favour government-controlled areas.

Governments including those in Europe and the Gulf have been slow to fulfil past pledges. The UNHCR says it has received only 3% of the $1.5 billion it has asked for to fund its work from now until June, though at a meeting in Kuwait on January 30th donors promised $1.5 billion, with the emir pledging $300m. The rich world’s failure to embrace the refugees more generously mirrors the ineffectiveness of its diplomacy. “No one is willing to lead policy on Syria,” bemoans Salman Shaikh, who runs a centre in Qatar for the Brookings Institution, a think-tank in Washington. “Other organisations can work in the north [of Syria], if the UN can’t. 
The opposition coalition has a plan for humanitarian aid but no one is giving them the money that was promised,” he says. Western governments are still loth to arm the rebels. Meanwhile, a sea of tents is growing on the Syrian side of the border with Turkey, where refugee camps are already bursting. And Jordan is turning back Palestinians fleeing from Syria, fearing lest they brew trouble among Jordan’s own disgruntled Palestinian people.

The Jordanian government has threatened to shut the borders completely if the rate of incoming refugees gets even bigger. On January 29th around 80 male corpses, their hands bound and heads holed with gunshot wounds, were pulled out of a river near Aleppo.

 Mr Assad is pummelling rebel-held areas such as the Damascus suburb of Daraya into rubble in his determination to keep them under his control. In such circumstances, the incentive to leave is plainly growing. Syria’s refugee crisis is out of hand.

Source: The Economis

Interview - Robert Badinter : "C'en est fini en Europe de la peine de mort"


Invité des grandes conférences de Poitiers, ce jeudi soir, Robert Badinter revient sur le combat de sa vie qui fut aussi celui de Victor Hugo. Interview.
« L'abolition est devenue très majoritaire dans le monde.»
(Photo d'archives, Sébastien Gaudard)
L'abolition de la peine de mort était le combat de la vie de Victor Hugo. L'histoire retient déjà que c'est vous qui l'avez mené à son terme. Vous dites avoir eu une pensée pour lui au moment du vote, le 18 septembre 1981. Quel sentiment vous animait alors ?
« Un sentiment de reconnaissance et aussi de fierté. Victor Hugo avait tant rêvé de l'abolition pure, simple et définitive. »
Comment expliquez-vous que 152 années se soient écoulées entre la publication du « Dernier Jour d'un condamné » et l'abolition de la peine de mort en France ?
« L'abolition aurait dû être votée en 1906 par la chambre des députés mais un crime atroce a suscité une grande émotion avant le débat. Le Petit Journal a organisé un référendum auprès de ses lecteurs ; bien entendu, ce fut une grande majorité de partisans qui écrivit au journal. Le courage politique fit alors défaut à la majorité de gauche. Ce fut l'échec. Puis on connaît le cours de l'Histoire. La guerre de 14-18, les crises politiques et sociales. Le détournement de l'attention des milieux politiques de l'époque ; le débat n'était plus philosophique et moral. Vint le temps des épreuves, la guerre de 39-45, l'Occupation, l'épuration, la décolonisation… Toutes ces grandes épreuves écartèrent la perspective d'un débat sur la peine de mort. En réalité, il fallut attendre 1972, après le départ du général de Gaulle, pour que le débat prenne cours pendant la présidence de Monsieur Pompidou. Mais c'est surtout à partir de 1975 que la question de la peine de mort se posa avec la plus grande intensité. On connaît la suite : la victoire du candidat de la gauche en 1981 et aux législatives. En réalité, c'est au courage politique de François Mitterrand que l'on doit l'abolition de 1981 alors que la majorité du pays y était opposée. »
Le combat n'est pas terminé puisque de nombreux pays pratiquent encore la peine de mort…
« Jamais je n'aurais cru au moment du vote que la marche vers l'abolition universelle connaîtrait de tels progrès. Trente ans plus tard, sur les 153 états que compte l'ONU, une centaine sont abolitionnistes en droit et près de 50 ne condamnent et n'exécutent plus. C'est dire que l'abolition est devenue très majoritaire dans le monde. Seuls demeurent des dictatures comme la Chine ou les états islamistes intégristes comme l'Iran ou l'Arabie Saoudite, le Pakistan, les Émirats. On pourrait ajouter la Syrie ! Le cas le plus singulier est celui des États-Unis, une vieille démocratie. Ils conservent encore la peine de mort mais seulement dans certains états, ceux du sud, jadis esclavagistes. Aux États-Unis aussi, le mouvement va dans le sens de l'abolition. Le nombre d'états qui ont aboli la peine de mort est maintenant de 17 - notamment l'état de New York et l'Illinois dont le président Obama était le sénateur -, bien d'autres états pratiquent un moratoire de droit. La Cour suprême elle-même évolue dans un sens plus favorable. Le nombre d'exécutions a diminué de moitié depuis dix ans. Je pense que nous verrons le mouvement vers l'abolition s'accentuer. »
Pensez-vous que ce débat puisse être rouvert en France ou bien le combat est-il gagné pour toujours ?
« L'abolition en France, comme dans toute l'Europe, est irréversible. Je rappelle qu'après l'abolition de 1981 due à Monsieur Mitterrand, c'est le président Chirac qui a fait inscrire l'abolition dans la constitution. Par ailleurs, la France, comme les autres états européens est liée par des conventions internationales en complément de la convention européenne des droits de l'Homme qui interdisent le recours à la peine de mort aux états signataires. La Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne adoptée en même temps que le Traité de Lisbonne, énonce en son article 2 « nul ne sera condamné à mort ni exécuté ». C'en est fini en Europe de la peine de mort. En France, la guillotine est au musée et c'est très bien ainsi. »
 La justice dans l'œuvre de Victor Hugo : conférence-débat de Robert Badinter au Théâtre Auditorium de Poitiers, jeudi 31 janvier, à 19 h. Entrée gratuite.
Source: http://www.lanouvellerepublique.fr

Ex Ministro Giustizia Flick: carcere ormai discarica sociale detenzione solo per casi gravi e pericolosi

Fonte: Ansa
“Il carcere oggi è una discarica sociale, la cui popolazione è composta per il 30% da tossicodipendenti e un altro 30% da extracomunitari. Tutto fa tranne che favorire il recupero, il reinserimento e la riabilitazione”.
Con queste premesse Giovanni Maria Flick, ex ministro della Giustizia nel primo governo Prodi ed ex presidente della Corte Costituzionale, ritiene che al carcere “si debba ricorrere solo nei casi di gravi reati o per trattenere individui pericolosi”.
Flick lo ha detto dall’alto della sua esperienza e nel corso di una assemblea elettorale del centro democratico per il quale è candidato, nell’ambito della coalizione di centrosinistra, come capolista al Senato nel Lazio.
“Il sovraffollamento delle carceri e la lentezza dei processi sono le due facce di una giustizia negata”, ha aggiunto spiegando di “voler tornare ad occuparmi della giustizia su una base di una prospettiva di concretezza. Dobbiamo ascoltare l’Europa quando mi manda degli ammonimenti sull’economia ma dobbiamo ascoltarla anche quando ci espone il cartellino giallo sulle profonde inefficienze del nostro sistema di giustizia”

mercoledì 30 gennaio 2013

China: Commute Death Sentence in Domestic Violence Case

Source: Human Rights Watch
Case Illustrates Urgent Need for Anti-Domestic Violence Legislation
It is cruel and perverse for the government to impose the death penalty on Li Yan when it took no action to investigate her husband’s abuse or to protect her from it. China’s legal system needs to take account of the circumstances that can lead domestic violence survivors to resort to violence in self-defense.
Sophie Richardson, China Director
(New York) – The Chinese government should immediately commute the death sentence against Li Yan, a woman convicted of killing her husband following months of violent abuse. According to Chinese criminal procedure, Li could be executed in the coming days, following approval by China’s Supreme People’s Court.

Human Rights Watch urged the Chinese authorities to follow the practice in other countries to take into account previous acts of violence against survivors of domestic violence as a defense or as a mitigating factor in sentencing. The lack of a comprehensive law against domestic violence to prevent, investigate, and provide service to survivors compounds abuses, Human Rights Watch said.
“It is cruel and perverse for the government to impose the death penalty on Li Yan when it took no action to investigate her husband’s abuse or to protect her from it,” said Sophie Richardson, China director at Human Rights Watch. “China’s legal system needs to take account of the circumstances that can lead domestic violence survivors to resort to violence in self-defense.”
In November 2010, Li Yan, from Sichuan Province, killed her husband Tan Yong following a violent dispute. According to Li’s lawyer, Tan had kicked Li and threatened to shoot her with an air rifle when Li grabbed the rifle and struck Tan with it, killing him. Li then dismembered Tan’s body.

Li and Tan had married in March 2009 and Tan started to abuse her soon after. According to Li’s lawyers and her brother, Tan had abused Li in the months prior to the murder: he had kicked and beaten her, locked her in their home during the day without food or drink, locked her out overnight on the balcony including during winter, burned her face and legs with cigarette butts, and once dragged her down three flights of stairs by her hair. Li had repeatedly complained about Tan’s abuses to the police, to the neighborhood committee, and to the local branch of the government-organized All China Women’s Federation (ACWF) as early as August 2010. Evidence of that abuse, including police records, hospital records, witness testimony, pictures of her injuries, and complaints to the ACWF, were presented in court. Neither the police nor the ACWF investigated the allegations against Tan. According to Li’s brother, the police had told Li that this was a “family matter” and that she should seek help from the local neighborhood committee.

However, the Ziyang City Intermediate People’s Court ruled that the evidence was insufficient to confirm that Li suffered domestic violence. Because all the witness statements affirming Li’s injuries had come from her friends and family, and because the authorities to whom Li had reported the abuse had taken no action to investigate and confirm Tan was the source of the abuse, the court ruled that it was not clear that domestic violence had taken place. The court convicted her of “intentional homicide” and stated that the death penalty is warranted because “the murder was committed in a cruel fashion and that the consequences severe.”

An appeals court upheld this decision in August 2012. Li’s case was then transferred to the Supreme People’s Court, which reportedly approved the execution recently but has not yet issued the execution order, according to lawyers familiar with the case. Once the order is issued, Li will be executed within seven days.

Since her case and sentence have become known to the public in recent weeks, nearly 400 Chinese citizens, lawyers, and scholars have signed petitions calling for a halt of the execution. Separately, since November 7,more than 8,000 people have signed another petition calling for anti-domestic violence legislation. According to Chinese government statistics released in January 2013, one in four women in China are subjected to domestic violence, including marital rape and beatings. Since 2000, local governments across China have passed local regulations on domestic violence. But these regulations focus on general principles and lack specific provisions to effectively protect women from domestic violence. In Sichuan Province, where Li Yan lives, the anti-domestic violence regulation does not include protective orders for victims.

The growing call for anti-domestic violence legislation prompted the Supreme People’s Court’s own investigation into the issue. The investigation, made public in January 2013, found current laws and regulations insufficient to protect women from domestic violence. According to the Supreme People’s Court, there is no clear standard stipulating the conditions under which investigations and prosecutions should be initiated; as a result, such investigations and prosecutions are rare. Even when such cases do come before courts, judges tend to treat domestic violence as a marital dispute and issue light punishments to abusers. The Supreme People’s Court investigation also pointed out that in cases where women respond to violence with violence, law enforcement agencies tend to discount their claims of abuse and failed to take them into account during sentencing.

Since 2008, the state-run All China Women’s Federation has recommended that the National People’s Congress, China’s legislature, draft a law to address domestic violence. Apart from an announcement that such drafting was in its work plans in early 2012, there has been no government information on details, timing, or when such draft laws might be discussed or adopted.

As a state party to several international treaties that guarantee women’s rights, the Chinese government is obliged to take effective measures to address domestic violence and its consequences for women. These actions should include effective legal measures, including penal sanctions, civil remedies, and compensatory provisions; preventive measures, including public information and education programs to change attitudes about the roles and status of men and women; and protective measures, including shelters, counseling, rehabilitation, and support services. China should enact a comprehensive law against domestic violence in accordance with the good practices detailed in the UN Handbook on Legislation on Violence Against Women.

Human Rights Watch opposes the death penalty in all circumstances as an inherently irreversible, inhumane punishment. A majority of countries in the world have abolished the practice. On December 18, 2007, the United Nations General Assembly passed a resolution by a wide margin calling for a worldwide moratorium on executions.
“Executing Li Yan does nothing to ensure justice in this horrific incident,” said Richardson. “Even worse, it sends a message to those enduring domestic violence across China that abuses against them will go unpunished.”

Iran, si converte al cristianesimo condannato a otto anni di carcere - American pastor sentenced to eight years in Iranian prison for preaching Christianity in homes


Fonte: La Stampa
Il pastore evangelico è accusato di minacce alla sicurezza interna
Un pastore evangelico irano-americano convertito al cristianesimo è stato condannato a 8 anni di prigione da un tribunale di Teheran per proselitismo e gestione di una «chiesa sotterranea». La notizia è stata diffusa dall’American Center for Law and Justice (Aclj), un’organizzazione statunitense a difesa dei diritti umani e della libertà religiosa. Saeed Abedini - nato e cresciuto in Iran, convertitosi al cristianesimo a 20 anni e dal 2002 sposato a una statunitense - è stato condannato per minacce alla sicurezza interna iraniana. Secondo il gruppo, il pastore evangelico e il suo avvocato hanno potuto presenziare solo a una giornata del processo. La portavoce del Dipartimento di Stato americano, Victoria Nuland, venerdì ha ripetuto l’auspicio di Washington per un processo «equo».


Source: MailOnLine
American pastor sentenced to eight years in Iranian prison for preaching Christianity in homes

An American pastor from Idaho has been sentenced to eight years in one of Iran's harshest prisons for preaching Christianity in Iranian homes, it was revealed today.
Saeed Abedini, a U.S. citizen who was born in Iran, has been held since September and charged with 'threatening the national security of Iran. 
The 32-year-old father of two says he was in the country only to establish and orphanage and was not preaching Christianity.
The American Center for Law and Justice, which is working with Mr Abedini's family to free him from Iranian custody, says the pastor led house churches in the Islamic nation in the early 2000s, when the state did not consider such activities a threat. 
'With today’s development I am devastated for my husband and my family.  We must now pursue every effort, turn every rock, and not stop until Saeed is safely on American soil,' Mr Abedini's devastated wife Naghmeh, said.

Mr Abedini is being held in Evin Prison in Tehran, the infamous gulag that houses most of the country's political prisoners. 
The ACLJ, a legal advocacy group founded by televangelist Pat Robertson, reports that Revolutionary Court Judge Pir-Abassi convicted and sentenced Mr Abedini after a hastily-called court hearing.

The group says that the ruling violated Iran's judicial rules and was motivated purely by politics. 
'We know that with the Iranian Revolutionary Court, Pastor Saeed’s conviction and sentence had to be approved at the very top – The Supreme Leader Ayatollah Khamenei had to sign off,' Jordan Sekulow, the director of international operations, wrote. 
The ACLJ says that Mr Abedini was beaten and tortured while in Iranian custody. 
He and his attorney were allowed to attend just one day of his trial, which began on January 21. 
White House Press Secretary Jay Carney and the State Department have both called for Mr Abedini's release, thought the Iranian government has clearly ignored the request.
Iranian officials had previously said they were planning to release the pastor, so the news that he was sentenced to eight years in a harsh prison came as a shock to his family and supporters.

martedì 29 gennaio 2013

Marazziti: comprendo mamma Corona, ma parliamo degli altri 65mila in carcere


Fonte: Il Giorno

"Grande comprensione per la signora Corona e per il suo appello di madre per il figlio Fabrizio, sicuramente sotto choc in un carcere sovraffollato". Mario Marazziti, capolista per Scelta Civica - Con Monti per l'Italia per la circoscrizione Lazio 1 (Roma), commenta così l'appello della madre di Fabrizio Corona, Gabriella, al Presidente Napolitano e alle forze politiche.
E aggiunge: "Chiederei però, anche in questo caso, la par condicio e faccio appello anche ai media: che i drammi della condizione disumana in carcere degli altri 65.600 detenuti in Italia, in gran parte "poveri cristi", abbia lo stesso spazio, la stessa attenzione e lo stesso coinvolgimento istituzionale della vicenda di Fabrizio Corona. 1 a 65.600 non è ancora l'uguaglianza, ma sarebbe già un inizio. Così la sua peculiare vicenda personale potrà almeno diventare utile per tanti".

lunedì 28 gennaio 2013

U.N. Human Rights office says african refugees poured into Yemen in 2012

Source: Yemen Times
New arrivals‭, ‬who take the risk of heading
 to Yemen by sea‭, ‬usually arrive
malnourished‭, ‬dehydrated and in shock
‭.
SANA’A, Jan. 27 — A little more than 107,000 refugees arrived in Yemen from the Horn of  Africa in 2012, with a majority of the refugees making the voyage by sea, according to the U.N.’s Office of High Commissioner for Human Rights (OHCHR). 

This influx is the highest since OHCHR started collecting statistics on this in Yemen in 2006.

In 2011, roughly 103,000 refugees from the Horn of Africa found their way to Yemen. OHCHR says a vast majority arrived via smuggling on ships.  Nearly 80 percent of the refugees were from Ethiopia.  A Somalian population constitutes the remaining percentage.      

According to the organization, Yemen serves as migration point for refugees on their way to other Gulf countries in search of jobs.  

“There are reception centers along the coast in Kharaz, Hazar, Maifa’a, Ahwar and the Bab Almandab Strait, in which new migrants have been received via OHCHR’s executive partner, a local organization called Humanitarian Solidarity,” said Jamal Alnajar, a communications assistant for OHCHR. 

He said they help the migrants by providing them with water, food, medicine and clothes. 

Alnajar says the voyage across the Red Sea is very dangerous for the migrants.  Many suffer from malnutrition and are under the constant threat of drowning. Refugees have reported to OHCHR that boat smugglers often force them to jump into the sea early before reaching land.  The reception centers say they have rescued thousands from this fate.   

In a press statement from a representative from the U.N. High Commissioner for Refugees, Nafeed Hussein, stated the influx of refugees from the Horn of Africa to Yemen is not considered just an issue for Yemen, but is a larger, regional concern that  must be tackled in that context.

Hussein pointed out that OHCHR appreciates Yemen efforts and stances on refugees at a time when the country is facing economic difficulties.

Il sindaco di Bologna visita il CIE : "Chiuderlo subito, sotto la dignità umana"


Fonte: BolognaToday
Il sindaco dopo la visita al centro identificazione ed espulsione di via Mattei: "Questi centri non hanno senso. C'é una situazione strutturale, igienico-sanitaria e gestionale deficitaria"

Merola: "Chiudere subito i Cie". Lo chiede il sindaco di Bologna dopo aver visitato la struttura: "Questi centri non hanno senso. C'é una situazione strutturale, igienico-sanitaria e gestionale deficitaria", ha spiegato all'uscita dopo essersi fermato più di un'ora nel centro di via Mattei. Secondo Merola, "per una città come Bologna, medaglia d'oro al valore civile, questo è un cuore di tenebra e non si può continuare ad assistere senza dire niente".
Nessuno, ha spiegato, "é trattato disumanamente ma è la condizione oggettiva che è al di sotto della dignità umana". Tanto che "é umiliante vedere come sono usate le forze di polizia: non si può tenere del personale giovane a fare custodia ad altri giovani che hanno il solo difetto di non appartenere a una certa nazionalità: insomma - ha proseguito Merola - ci siamo inventati un reato e abbiamo costruito una struttura che non si può neanche definire carceraria".
LA RICHIESTA IN PREFETTURA. Per l'immediato, il primo cittadino ha chiesto che venga data risposta alla domanda di fondi avanzata dalla Prefettura: "Non si può gestire questa situazione senza risorse, almeno si provveda, come hanno chiesto il Prefetto, i parlamentari bolognesi e l'assessore Frascaroli, a fare gli interventi di minima per rendere la permanenza dignitosa". L'obiettivo finale, però, rimane la soppressione dei Cie: "Lavorerò perché tutti i sindaci si pronuncino e si ribellino. C'é una legge elettorale che fa schifo e va cambiata, ma anche questa è una delle prime cose da modificare perché costringe i nostri funzionari a operare contro la Costituzione". Merola ha parlato con alcuni immigrati e non ha nascosto la propria commozione: "Scusate se mi sfogo con voi - ha detto ai cronisti - ma serve fare qualcosa al più presto. Questi sono centri di espulsione, ma di espulsione della condizione umana".

domenica 27 gennaio 2013

Bambini sotto i tre anni in carcere… In Italia sono circa 60


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Ci risiamo. Per la seconda volta nel giro di poco tempo a Roma si chiudono le porte del nido comunale per i bambini detenuti, quei piccoli sotto i tre anni che vivono con le loro madri dietro le sbarre. Da tempo tutti, ma proprio tutti, dicono che i bambini in carcere sono una vergogna. Che questa situazione non è ammissibile in un paese civile. Ma forse noi non siamo un paese civile e per questo continuiamo a consentire che ci siano dei bambini detenuti. Il DAP non ha fornito dati precisi sui bambini in carcere, ma in media si aggirano attorno alla sessantina. A Femminile di Rebibbia sono tra i 15 e i 20.
Quindici anni fa a Roma, dopo una lunga battaglia, si era ottenuto che anche i figli delle galeotte potessero frequentare il nido esterno. Ad accompagnarli nel percorso dal carcere alla scuola c’era un pulmino del municipio. Ora però sono finiti i soldi per pagare il pulmino e ai bambini non resta che rimanere per 24 ore al giorno in carcere insieme alle loro madri e al personale di polizia penitenziaria, privati di un momento di socializzazione fondamentale per tutti i bambini, ma ancora di più per chi vive ristretto. Per loro niente scuola, niente amicizie esterne, niente uscita quotidiana dalla prigione.
L’Associazione A Roma Insieme, che lavora da anni nella sezione nido del carcere femminile di Rebibbia si appella all’assessore alle politiche sociali nonché vicesindaco della capitale Sveva Belviso. Chissà se la capitale saprà essere più civile del suo paese?
Intanto i piccoli restano dentro, senza capire perché. E sinceramente anche noi.

Daniela De Robert

Fonte: Articolo 21

sabato 26 gennaio 2013

Venezuela, 54 morti in rivolta carcere - Disordini scoppiati dopo una perquisizione, 88 i feriti

Venezuela, 54 morti in rivolta carcere
(ANSA) - CARACAS, 26 GEN - E' di 54 morti e 88 feriti il pesante bilancio di una rivolta carceraria scoppiata ieri nel Centro penitenziario del Centroccidente, nello Stato nordoccidentale venezuelano del Lara. La rivolta sarebbe scoppiata in segno di protesta contro una perquisizione messa in atto dalla Guardia nazionale in un'unita' del penitenziario nota come Uribana.

Italia - Ministro della Giustizia Severino: la situazione delle carceri migliora, ma è ancora drammatica


Asca, 25 gennaio 2013

La situazione delle carceri italiane registra un miglioramento. All'interno della popolazione carceraria si è passati dal 42% di detenuti in attesa di giudizio dell'anno scorso al 36% di quest'anno.
Un dato comunque che "rimane inaccettabile e che inserito nella più generale situazione degli istituti carcerari italiani provoca quel sentimento di profonda amarezza e lo sconforto per la perdurante drammaticità" delle condizioni dei detenuti. Lo afferma il ministro della Giustizia, Paola Severino, nel suo intervento all'inaugurazione dell'anno giudiziario.
Sulle carceri, sostiene il ministro, "si può e si deve fare di più, sia nell'impegno amministrativo quotidiano sia nell'impegno legislativo". Il diminuire dei detenuti in attesa di giudizio, dice Severino, "è il segno che quello che si è fatto va nella giusta direzione, anche se va proseguito e ampliato. Dovranno essere ricercate soluzioni che, facendo salve le esigenze di sicurezza della collettività, valorizzino la funzione rieducativa della pena, riaffermando l'idea del carcere come extrema ratio. Per questo - aggiunge Severino - rimane forte il rammarico per la mancata approvazione del disegno di legge in matterai di pene detentive non carcerarie che avrebbe lasciato un primo, importante segno in questa direzione".

Inaugurazione Anno Giudiziario 2013: intervento Paola Severino

La situazione carceraria. Mi pare doveroso, pertanto, iniziare la mia relazione proprio da alcune considerazioni sull'attuale stato delle carceri. Non invocherò a scusante il breve tempo avuto a disposizione dal Governo; né mi limiterò a richiamare l'esito comunque positivo delle innovazioni legislative sia in materia di esecuzione presso il domicilio delle pene detentive residue brevi, che in materia di forte attenuazione del fenomeno delle c.d. "porte girevoli".
Si deve e si può fare di più, sia nell'impegno amministrativo quotidiano, sia nell'impegno legislativo, con provvedimenti di cui dovranno in parte farsi carico anche il nuovo Governo ed il nuovo Parlamento, con decisioni che - voglio sperare - non siano condizionate da fatti di cronaca mediaticamente enfatizzati ma, al contrario, trovino alimento nei principi costituzionali della presunzione di innocenza e della finalità rieducativa della pena.
Rimane inaccettabile che, all'inizio di questo mese, 24.124 detenuti su 65.789, pari a circa il 36% dell'intera popolazione carceraria, siano ancora in attesa di giudizio e, tra essi, ben 12.594 attendano il giudizio di primo grado.
Va però segnalato un miglioramento rispetto agli stessi dati che ho fornito in quest'aula lo scorso anno, se è vero che allora i detenuti in attesa di giudizio erano oltre 28.000 (pari al 42% di un totale sostanzialmente stabile). È il segno che quello che si è fatto va nella giusta direzione, anche se va proseguito ed ampliato.
Dopo essermi misurata con questi problemi rimango, infatti, ancora più convinta che soltanto l'azione sinergica di una sostanziale depenalizzazione, di una nuova e più flessibile regolamentazione della misure alternative al carcere e di un nuovo sistema di gestione dell'edilizia carceraria sarà in grado di offrire una soluzione equilibrata e stabile a questa davvero complessa emergenza.
Dovranno essere ricercate soluzioni che, facendo salve le esigenze di sicurezza della collettività, valorizzino la funzione rieducativa della pena, riaffermando l'idea del carcere come extrema ratio.
È per questo che rimane forte il rammarico per la mancata approvazione del disegno di legge in materia di pene detentive non carcerarie che avrebbe lasciato un primo, importante, segno in questa direzione.
Mi conforta però il segnale dato da un illuminato Procuratore della Repubblica che, in una circolare recente, ha invitato i Magistrati ad un utilizzo più esteso delle misure alternative alla detenzione.
Confido che indicazioni simili possano essere diffuse in tutti i Tribunali, suggerendo anche una evoluzione dell'interpretazione delle norme attualmente esistenti, nel solco dei principi costituzionali e degli insegnamenti della Corte Europea di Strasburgo.

venerdì 25 gennaio 2013

Nebraska Senator Chambers Pushes for Death Penalty Repeal


Reporter: Associated Press
A state lawmaker who fought for years to abolish the death penalty in Nebraska is trying again.
Sen. Ernie Chambers of Omaha introduced a repeal measure on
Wednesday, the final day for lawmakers to submit bills.
Chambers is an outspoken death-penalty opponent who has repeatedly tried to repeal the practice. He returned to the Legislature after a four-year hiatus imposed by term limits.
His measure would replace the death penalty with a sentence of life without the possibility of parole. In the bill, Chambers rails against the death penalty as a failure that has harmed the state's reputation for fairness, decency and the dignity of human life.
The bill is co-sponsored by Sen. Colby Coash, of Lincoln.

Iran: Premio Nobel Shirin Ebadi denuncia “aumentano le impiccagioni, minoranze perseguitate” - Rights groups call on Iran to stop execution of Arab activists

Iran: Premio Nobel Shirin Ebadi denuncia “aumentano le impiccagioni, minoranze perseguitate” 

Adnkronos

“L’aumento esponenziale delle impiccagioni negli ultimi anni, unitamente alla violazione dei diritti delle minoranze etniche in Iran, sono due dati molto preoccupanti”. È l’allarme lanciato dal premio Nobel per la Pace Shirin Ebadi nel suo ultimo rapporto sulla situazione dei diritti umani in Iran. Nel documento, la Ebadi sottolinea come le autorità iraniane abbiano giustiziato, solo nell’ultimo mese, 19 persone, alcune delle quali sono state impiccate in pubblico.
L’attivista premio Nobel ha poi denunciato la repressione esercitata dal governo islamico nei confronti delle minoranze etniche residenti in particolare nelle zone di confine e ha fatto riferimento a diversi attivisti iraniani di etnia curda e araba, sottoposti a vessazioni e torture in carcere. In Iran - ha precisato - “le minoranze etniche vengono spesso discriminate e sono emarginate dalla vita politico-sociale ed economica del paese”.
“I due blogger Hashem Shabani-nejad e Mohammad Ali Amuri-nejad, l’insegnante Hadi Rashedi, l’attivista curdo Reza Mollazedeh e i due attivisti arabi Jaber al-Boshuke e Mokhtar al-Boshuke - ha sottolineato - sono stati condannati a morte e potrebbero presto essere impiccati”. L’avvocatessa ha denunciato anche le difficili condizioni in cui versano numerosi prigionieri politici e il clima di chiusura e oppressione che si respira nell’intero paese. “Le pubblicazioni di libri e quotidiani - ha ricordato - hanno subito un forte calo a seguito delle rigide censure governative esercitate contro i giornalisti, gli scrittori e gli intellettuali iraniani”.

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Rights groups call on Iran to stop execution of Arab activists

LONDON (Reuters) - Two rights groups urged the Iranian judiciary on Thursday to quash death sentences against five members of Iran's Arab minority and halt their executions on grounds of torture and unfair legal proceedings.
London-based Amnesty International and Human Rights Watch, which is based in New York, said in a statement the five had been sentenced last year on terrorism-related charges because of their links to a banned cultural institute that promoted their Arab heritage.
Their death sentences were upheld last week and they were transferred from Karoun prison in Ahvaz, capital of the southwestern province of Khuzestan. Their families no longer know where they are being held, the statement added.
"The reported transfer of these men to an unknown place is an extremely worrying development," said Ann Harrison of Amnesty International. "We fear the authorities may be planning to execute them imminently."
Families of the five men, two of whom are brothers, say they were subjected to "physical and psychological torture" during their detention, the statement said.
It added that security forces had arrested all five at their homes in early 2011 in advance of the sixth anniversary of protests by ethnic Arabs in April 2005.
On Wednesday, 30 human rights organizations and campaigners, including Iran's Nobel Peace Prize winner Shirin Ebadi and Ahwazi Arab campaign groups, urged Iran to stop the implementation of thedeath sentences against the five men.
"Among ethnic minorities in Iran, Ahwazi Arabs are subjected to some of the most severe repression from the central government," read their joint statement.
Arab minorities in Iran are mostly based in the southwest. They complain of economic deprivation and systematic discrimination by authorities which, they say, try to dilute their Arab identity.
There are no official figures for the size of the Arab population but independent estimates count Arabs as the majority in oil-rich Khuzestan province, which borders Iraq.
Iranian officials maintain they have no problems in Khuzestan and dismiss talk of human rights violations against Arab Iranians in Ahvaz as propaganda.
No officials were immediately available to comment on the statement by the two rights groups.
Four members of Iran's Arab minority were executed last year. United Nations human rights experts said they were sentenced to death after an opaque trial whose fairness was questionable.

giovedì 24 gennaio 2013

Malian refugees flee to Djenne, NGOs struggle to tackle crisis

euronews

Refugees have gathered in the central Malian town of Djenne, uprooted by the violence sweeping their country.

They have travelled across Mali to reach the relative safety of this camp.
One refugee explained why she came: “I fled Konna because of the bombings. It was too dangerous. I left on foot with my husband and four children. We walked for two days.”
The United Nations estimates that some 230,000 Malians have already fled their homes.
Aid organisations are struggling to tackle the humanitarian crisis, as the violence continues to spread.
Mammadou Diallo, of the Catholic Relief Service, said: “We had to leave Sevare in a rush because the jihadists were arriving, so our people were not safe anymore.”
Euronews correspondent François Chignac, in Djenne, concluded: “Fleeing the rebels’ advance and recent bombings, refugees who remain in Mali are the forgotten in this conflict.”

Video



The Dallas Morning News - Editorial: Race and the death penalty in Texas


The Dallas Morning News 
Dallas County District Attorney Craig Watkins wants to make sure Texas executions are not carried out if racial bias played an unfair role in a defendant’s death sentence.
No argument. Good goal, in general.
Now comes the hard part — getting there.
Watkins said this week that he is preparing a proposal, the Racial Justice Act, that would allow a death row inmate to bring up the issue of race in state appeals. North Carolina has a measure like that on the books, and three death-row inmates — two of whom killed law enforcement officers — used it to overturn their sentences in favor of life in prison last month. Their lawyers argued that racial bias affected the sentencing and jury selection in the three emotionally charged cases.
Whether Texas defense lawyers need or should have that tool is an important debate to have in the state Capitol among legal experts and lawmakers.
This newspaper opposes the death penalty on grounds that it can never be immune from human error and is unevenly applied. More than half of Texas’ 254 counties have never sent a single person to death row in the modern era, and studies have indicated that the races of the killer and the victim affect decisions, from prosecutors to juries, on whether to apply capital punishment.
Abolishing the death penalty is not Watkins’ goal, though he has made no secret of his qualms about it. Still, we applaud any effort to immunize the use of that punishment from error and bias.
The district attorney has often expressed his view that attitudes toward race affect outcomes in the criminal justice system. He comes to this place both professionally and with the acutely personal perspective of a black man whose great-grandfather was executed and buried in the state prison cemetery in Huntsville.
It’s ironic that despite Watkins’ uneasiness about capital punishment, Dallas County has emerged as the leading death penalty county in Texas during his six years in office. He has sent eight inmates to death row beginning in 2008, five of them black and one Hispanic.
That points up the difficulty in drawing inferences from statistics. On paper, Watkins’ office might look prone to come down hard on black defendants, but that wouldn’t square with the DA’s background and the race-neutral approach he says he employs.
But something underlies the statewide pattern of sending mostly minorities to death row in recent years, and lawmakers should explore the reasons. Crime rates for blacks are historically far higher, but does that entirely explain the disparity?
The downside of Watkins’ advocacy on this issue is that the 2013 lawmaking session is off and running, and there’s no bill yet. Watkins says he’s been working on it for months and hopes to find an author soon to carry it.
Those conversations ideally would have taken place months ago. Yet the reality of a racially charged proposal is that it can take multiple lawmaking sessions to make headway.
This session should be the one to get the discussion started, and time’s already slipping away.

A matter of fairness

“The issue that we’re bringing to light is to make sure that everything is fair, no matter what you look like, no matter where you come from, and you’re treated just like anyone else. … And if you deserve a death sentence, then you will get it. If you didn’t, then you shouldn’t be on death row.”
Craig Watkins, Dallas County district attorney

mercoledì 23 gennaio 2013

Tanzania: No Death Penalty in New Constitution - Call

allafrica.com

DEATH penalty should not be provided for in the new constitution regardless of the severity of the crime, former Prime Minister Edward Lowassa has proposed.
Mr Lowassa was presenting his views to the Constitutional Review Commission (CRC) in Dar es Salaam. Tanzania is considered a de facto abolitionist country in terms of death penalty. According to Amnesty International, 95 countries had abolished death penalty for all crimes as of December 2009.
Likewise, more than two thirds of the countries in the world had abolished it in laws or practice by December 2010. According to Legal and Human Rights Centre, the country has no record of execution of the death sentence since 1995.
Similarly the Law Reform Commission of Tanzania's report on capital punishment says no death sentence was effected between 1978 and 1987 and between 1995 to date.
Death is imposed as punishment for murder under section 197 of the Penal Code, Treason, under section 39 and 40 of the Penal Code and misconduct of military commanders, under the First Schedule of the National Defence Act.
Mr Lowassa who is also the MP for Monduli (CCM) further proposed for a provision in the new constitution which makes secondary education free. That, he said would enable the country build a future nation composed mostly of educated youth.
The former premier also suggested that the new constitution should have a provision to ensure equitable distribution of land to avoid conflicts between pastoralists and farmers.

Iran: rapinatori impiccati in parco “Casa della cultura”; protestano artisti, commozione su web


Ansa, 22 gennaio 2013

L’impiccagione di due rapinatori eseguita ieri a Teheran ha innescato una sommessa protesta di artisti e commozione tra utenti di social network censurati in Iran. Come riferiscono siti di opposizione, l’esecuzione degli autori di una rapina che aveva destato scalpore nel paese dato che era stata condotta usando un machete è stata seguita dal raduno silenzioso di un numero imprecisato di artisti. La protesta si è indirizzata contro la pena di morte giudicata inutile per la prevenzione dei crimini. L’assembramento ha voluto però protestare contro la scelta del luogo dell’impiccagione: il parco della “Casa della cultura” un luogo idilliaco a Teheran dove è possibile andare a teatro, visitare mostre, sedersi al caffè a mangiare anche all’aperto in genere in un clima di grande serenità.
Sui social network si notavano stamattina molti commenti commossi sull’esecuzione di ieri: ad alimentare la commozione sono state le foto che mostrano i volti dei condannati, entrambi ventenni, prima dell’impiccagione ad alte braccia meccaniche eseguita quando era ancora notte. A colpire è stata soprattutto una in cui un condannato dal cranio rasato si dispera addirittura appoggiando la testa sulla spalla di uno dei boia con passamontagna. In quella ed in almeno un’altra immagine in circolazione su internet si vede l’alto uomo addetto alle esecuzioni appoggiare una mano sulla spalla del condannato.
Il segno di umanità ha accresciuto l’impatto emotivo del caso di impiccagione che peraltro è solo uno delle centinaia eseguite ogni anno in Iran, paese fra quelli che più spesso fanno ricorso alla pena di morte. Ad alimentare l’interesse erano state le immagini video della rapina diffuse sulla tv pubblica dopo la censura su Youtube. A causa dell’uso del lungo coltello simile ad un machete c’era stato scalpore sui media e le autorità giudiziarie avevano promesso di punire i rapinatori con la pena capitale che scatta per i colpevoli di “Moharebeh” (guerra contro Dio). I due complici dei rapinatori impiccati sono stati condannati a dieci anni di carcere e 74 frustate.

Immigrazione CIE Assistenza Sanitaria inadeguata, solo di primo soccorso. Detenzione peggiore del carcere


di Flore Murard-Yovanovitch

L'Unità, 22 gennaio 2013

Al di là di quelle sbarre, le cure sono minime. Nei Centri di identificazione ed espulsione (Cie), come da capitolato d'appalto del ministero dell'Interno, l'assistenza sanitaria è di primo soccorso. Un approccio emergenziale che risale all'istituzione dei primi Cpt nel 1998, che però non è più adeguato ad un trattenimento dilatato fino a 18 mesi negli odierni Cie, perché interrompe de facto i percorsi terapeutici e le cure di medio - lungo periodo. Nel 2011, secondo i dati del ministero dell'Interno, sono stati 7.735 (6.832 uomini e 903 donne) i migranti trattenuti nei 13 Cie operativi in Italia. 7.735 persone, per le quali un diritto fondamentale come quello della salute, come emerge dal monitoraggio sistematico effettuato dall'Ong Medici per i diritti umani (Medu), non è stato sempre garantito. All'ingresso in quell'istituzione chiusa, il check-up iniziale è superficiale. Il personale sanitario delle Asl non ha accesso.
I medici che ci operano sono privati, "chiamati" dall'ente gestore che gestisce il centro per conto dello Stato, e mancano spesso delle competenze specialistiche in ambiti come ginecologia e psichiatria. Inoltre scarseggiano i servizi di mediazione culturali e gli interpreti qualificati per le consultazioni medicali, come esige invece il Comitato europeo per la prevenzione della tortura (Cpt Standards).
Se l'ente gestore assicura spesso di avere stabilito un buon collegamento con i servizi delle Aziende sanitarie locali (Asl), in realtà la maggior parte dei centri non ha stipulato protocolli. Cioè, non esiste alcun regolamento per l'invio dei pazienti a visite specialistiche o analisi di laboratorio, per la diagnosi e il trattamento di patologie infettive come Tbc, Hiv o epatiti.
Per una visita medica fuori dal Cie è obbligatoria la scorta di polizia. Ma la paura che il detenuto simuli o usi il trasferimento in strutture esterne per allontanarsi, porta spesso a sottovalutare la sua richiesta o sottostimare i sintomi denunciati. I pazienti lamentano la persistente disattenzione dei sanitari nei confronti delle loro patologie, e loro il timore delle simulazioni. All'interno di una struttura del tutto simile al carcere ma che non ne possiede i requisiti né le garanzie, viene quindi meno il normale rapporto di fiducia tra medico e paziente: sostituito da una relazione carceriere - sorvegliato.

Detenzione peggiore del carcere

Se ti senti male, quindi, devi chiamare la guardia, che chiama l'ente gestore, che chiama il medico, e vieni inserito in una lunga lista d'attesa... Dall'indagine dell'International University College sul Cie di Torino emerge che i casi di gravi ritardi nella prestazione delle cure sarebbero numerosi. I detenuti hanno raccontato di un ragazzo che aveva ingerito un oggetto e che è rimasto per ore disteso a terra vicino al cancello, senza soccorso. Un altro, soggetto a crisi epilettiche, avrebbe dovuto essere ricoverato in ambito ospedaliero visto i gravi pericoli insiti nella patologia. A Omar, caso reso pubblico dall'Ong Medu e raccontato qui a fianco, i ritardi nella corretta diagnosi, sono stati devastanti, quasi fatali. Ma nei carceri per solo migranti, i casi di negazione delle cure potrebbero essere ancora per lo più sconosciuti e più numerosi.
Quando non è il corpo, in quelle "gabbie", è la psiche ad ammalarsi. La promiscuità totale. I percorsi di vita anche. Tra migranti appena giunti, persone che vivono e lavorano da anni in Italia, ex carcerati, richiedenti asilo, persino cittadini dell'Ue (romeni), e categorie particolarmente vulnerabili come tossicodipendenti e vittime della tratta. Persone quindi che hanno esigenze diverse. La prospettiva di 18 mesi separati dai propri figli spesso nati in Italia e senza visite dei famigliari, è un incubo.
Mesi vuoti, obbligati in uno stato di ozio coatto, dove non è consentito ai cosiddetti "ospiti", per motivi di sicurezza, il possesso di un giornale, di una penna, di un pettine. Nemmeno di un libro. Un nulla spazio - temporale che il Rapporto della commissione diritti umani del Senato non esitava a definire "peggiore del carcere", per l'assenza delle garanzie offerte dal sistema penale. Una detenzione arbitraria e inutile, visto che meno della metà dei trattenuti viene rimpatriata, ma che ha invece pesanti conseguenze sulla loro vita. Il profondo e diffuso malessere è testimoniato dai continui tentativi di suicidio e dalle numerose autolesioni inferte sui corpi. Viti, tubi, batterie, tutto va ingoiato o le vene tagliuzzate pur di essere trasferiti all'ospedale. Nel solo 2011, nel Cie di Torino, sono stati riscontrati 156 episodi di autolesionismo (100 dei quali per ingestione di medicinali e corpi estranei, 56 per ferite da arma da taglio). L'indicibile è poi denunciato dalle dirompenti perdite di peso, dall'insonnia, dalla depressione, dalle patologie ansiose e mentali.
Ma nei Cie non sempre è prevista la presenza di un servizio di sostegno psicologico, o è minimo e reattivo. Solo dopo i ripetuti atti Violenti nel centro di via Brunelleschi a Torino sono stati introdotti degli psicologi, ma in altre strutture non ce ne sono sempre. Pur non essendo disponibili dati ufficiali, molti professionisti e volontari riferiscono di un ampio ricorso ai psicotropi a base di benzodiazepine. Ritrovil, Tavor, Talofen, ecc..
Il problema: si somministrerebbe senza prescrizione o supervisione di un medico psichiatra specialista. "Mi danno 40 gocce di Minias e 30 di Tavor ogni sera", confessa una detenuta nel Cie di Torino. 0 come racconta un ragazzo diciottenne al 26 giorno di trattenimento: "Certo che prendo psicofarmaci, se non lo fai, vai fuori di testa qua". Difficile, poi in caso di sovraffollamento gestire tutti i casi. Angoli bui, opachi, inquietanti della salute pubblica. Lasciati alla discrezionalità totale dalla parte degli enti gestori. Nei Cie, presidi sanitari, livelli igienici e di vivibilità degli ambienti e condizioni sanitarie degli stranieri detenuti non sono monitorati dalle autorità sanitarie pubbliche.
I dati sanitari sono gravemente carenti - per assente raccolta e sistematizzazione - e non ci sono linee guida a livello centrale. I continui dinieghi del ministero dell'Interno di rendere disponibili a Medu o a Msf, a parte singoli casi, le convenzioni stipulate tra i singoli enti gestori e le Prefetture locali testimoniano di questa mancata trasparenza. Oltre quelle mura, le veridicità delle condizioni di detenzione è raccontata, in silenzio, dai ripetuti scioperi della fame, incendi dolosi e atti di vandalismo, dalle continue rivolte e fughe - raddoppiate rispetto all'anno precedente in quasi tutti centri visitati da Medu. Senza nominare le denunce di abuso - punizioni, manganellate, quotidiane imposizioni, insulti verbali - che costituiscono potenziali casi di trattamento inumano e degradante della persona umana. "Qui è peggio di un carcere" è la frase che si capita sempre di sentire con più frequenza quando si ha accesso ad un Cie. "Vorrei che questo centro scomparisse e basta", dice un'altra trattenuta a Torino; altri si vedono come "corpi a disposizione totale della struttura". In 18 mesi, la mente e il corpo hanno tempo di ammalarsi e da quel luogo si esce in generale con condizioni peggiori di salute.

lunedì 21 gennaio 2013

Feeding The Homeless BANNED In Major Cities All Over America


The Economic Collapse

This is just another example that shows that our country is being taken over by control freaks.  There seems to be this idea out there that it is the job of the government to take care of everyone and that nobody else should even try.
But do we really want to have a nation where you have to get the permission of the government before you do good to your fellow man?
It isn't as if the government has "rescued" these homeless people.  Homeless shelters all over the nation are turning people away each night because they have no more room.  There are many homeless people that are lucky just to make it through each night alive during the winter.
Sometimes a well-timed sandwich or a cup of warm soup can make a world of difference for a homeless person.  But many U.S. cities have decided that feeding the homeless is such a threat that they had better devote law enforcement resources to making sure that it doesn't happen.
This is so twisted.  In America today, you need a "permit" to do almost anything.  We are supposed to be a land of liberty and freedom, but these days government bureaucrats have turned our rights into "privileges" that they can revoke at any time.
The following are some of the major U.S. cities that have attempted to ban feeding the homeless....
Philadelphia
Mayor Nutter recently banned feeding homeless people in many parts of Philadelphia where homeless people are known to congregate....
Philadelphia Mayor Michael Nutter has announced a ban on the feeding of large numbers of homeless and hungry people at sites on and near the Benjamin Franklin Parkway.
Mayor Nutter is imposing the ban on all outdoor feedings of large numbers of people on city parkland, including Love Park and the Ben Franklin Parkway, where it is not uncommon for outreach groups to offer free food.
Nutter says the feedings lack both sanitary conditions and dignity.
Orlando
Last June, a group of activists down in Orlando, Florida were arrested by police for feeding the homeless in defiance of a city ordinance....
Over the past week, twelve members of food activist group Food Not Bombs have been arrested in Orlando for giving free food to groups of homeless people in a downtown park. They were acting in defiance of a controversial city ordinance that mandates permits for groups distributing food to large groups in parks within two miles of City Hall. Each group is allowed only two permits per park per year; Food Not Bombs has already exceeded their limit. They set up their meatless buffet in Lake Eola knowing that they would likely be arrested as a result.
Houston
Down in Houston, a group of Christians was recently banned from distributing food to the homeless, and they were told that they probably would not be granted a permit to do so in the future even if they applied for one....
Bobby and Amanda Herring spent more than a year providing food to homeless people in downtown Houston every day. They fed them, left behind no trash and doled out warm meals peacefully without a single crime being committed, Bobby Herring said.
That ended two weeks ago when the city shut down their "Feed a Friend" effort for lack of a permit. And city officials say the couple most likely will not be able to obtain one.
"We don't really know what they want, we just think that they don't want us down there feeding people," said Bobby Herring, a Christian rapper who goes by the stage name Tre9.
Dallas
Dallas has also adopted a law which greatly restricts the ability of individuals and ministries to feed the homeless....
A Dallas-area ministry is suing the city over a food ordinance that restricts the group from giving meals to the homeless.
Courts dismissed Dallas’ request for a summary judgment last week, saying the case, brought up by pastor Don Hart (in video above) may indeed be a violation of free exercise of religion, as protected by the Texas Religious Freedom Restoration Act, the blog Religion Clause reported.
In the court filing, the ministry leaders argue that their Christian faith requires them to share meals with the homeless (Jesus did!) and that the requirement that even churches and charities provide toilets, sinks, trained staff and consent of the city keeps them from doing so.
Las Vegas
A few years ago, Las Vegas became the first major U.S. city to specifically pass a law banning the feeding of homeless people....
Las Vegas, whose homeless population has doubled in the past decade to about 12,000 people in and around the city, joins several other cities across the country that have adopted or considered ordinances limiting the distribution of charitable meals in parks. Most have restricted the time and place of such handouts, hoping to discourage homeless people from congregating and, in the view of officials, ruining efforts to beautify downtowns and neighborhoods.
But the Las Vegas ordinance is believed to be the first to explicitly make it an offense to feed “the indigent.”
That law has since been blocked by a federal judge, and since then many U.S. cities have been very careful not to mention "the indigent" or "the homeless" by name in the laws they pass that are intended to ban feeding the homeless.
New York City
New York City has banned all food donations to government-run homeless shelters because the bureaucrats there are concerned that the donated food will not be "nutritious" enough.
Yes, this is really true.
The following is from a recent Fox News article....
The Bloomberg administration is now taking the term “food police” to new depths, blocking food donations to all government-run facilities that serve the city’s homeless.
In conjunction with a mayoral task force and the Health Department, the Department of Homeless Services recently started enforcing new nutritional rules for food served at city shelters. Since DHS can’t assess the nutritional content of donated food, shelters have to turn away good Samaritans.
Can you believe that?
The bureaucrats are officially out of control.
In America today, it seems like almost everything is illegal.
One church down in Louisiana was recently ordered to stop giving out water because it did not have a government permit.
Well, I don't know about you, but I sure am going to give a cup of cold water to someone if they need it whether I have a permit or not.
It is as if common sense has totally gone out the window in this nation.
Over in New Hampshire, a woman is being sued for planting flowers in her own front yard.
This is the kind of thing that makes me glad that I have moved to a much more rural location.  People in the country tend to be much more relaxed.
Sadly, those that love to micro-manage others continue to get the upper hand in America.  Back in January, 40,000 new laws went into effect all over America.  The politicians continue to hit us with wave after wave of regulations and laws with no end in sight.
All of this is making America a very unpleasant place in which to live.